Editorial

Chaque année en France, 50 000 personnes sont arrachées à la vie !
Une Ville comme Annecy, Meudon ou Blois, rayée de la carte … tous les ans.

La mort subite peut foudroyer n’importe qui, n’importe quand, sans le moindre signe annonciateur. Trop souvent, ce décès est immérité car le muscle du cœur n’est pas en cause. Si le témoin présent sur place agit immédiatement, il peut modifier le destin de la victime. Le retour à la vie sans séquelle est possible.

Pour cela, il faut agir, réaliser les gestes qui sauvent avec défibrillateur en moins de 10 minutes. La victime va mourir, il n’y a pas pire situation, vous ne pouvez que l’améliorer. « Il faut faire plutôt que ne pas faire », sinon quand les secours arrivent, il est trop tard.
 
Cela suppose que le témoin, chacun d’entre nous, vos proches, vos enfants, vous … ait au préalable donné 20 minutes de sa vie pour apprendre les gestes de réanimation cardio pulmonaire (RCP) et pour apprendre à se servir d’un Défibrillateur (DAE).

Savoir reconnaître une victime inconsciente qui ne respire pas, appeler les secours, masser et défibriller,  sont des gestes simples mais ne s’inventent pas .

Aujourd’hui en France, seul 3 % des victimes d’arrêt cardiaque survivent alors que dans d’autres pays le taux de survie est de 30 %. La différence réside dans la proportion de population formée et dans le nombre de défibrillateurs à disposition du public.

« Il devrait y avoir autant de défibrillateur que d’extincteurs dans les lieux publics »

En France, si seulement 30 % de la population était formée, on pourrait sauver 5 000 vies par an.

Cardiochoc a été créé pour informer sur cette problématique de santé public, pour former le grand public aux gestes qui sauvent avec défibrillateur, pour conseiller les décideurs et proposer l’achat, l’installation et la maintenance d’un défibrillateur ; alors qu’il existe une multitude de produits sur le marché, ce qui rend complexe toute acquisition.

Cardiochoc se réfère à l’EBM, la médecine fondée sur les preuves et aux conseils du Docteur Jean Pierre Rifler, médecin urgentiste, spécialiste de l’arrêt cardiaque, ayant contribué à la rédaction des Recommandations de l’Académie de Médecine en matière d’arrêt cardiaque et à la rédaction du décret n° 2007-705 du 4 mai 2007 : « Toute personne, même non médecin, est habilitée à utiliser un défibrillateur automatisé externe répondant aux caractéristiques définies à l’article R.6311-14 ».

Cardiochoc est un acteur privé du domaine de la défibrillation, une TPE innovante, créative et réactive, à vos côtés pour vous guider et vous conseiller tant pour le choix du défibrillateur que pour l’organisation de la formation qui double les chances de survie de la victime.

Pour mémoire :
http://www.cfrc.fr/defibrillation.php

Marie Agnès Zunino
Créatrice de Cardiochoc